International Workshop
How to unravel the interactions between soil
structure and soil functions ?
20-22 July 2015
Grenoble, France
C’est par ici
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Quelques articles proposent d’utiliser des techniques d’impression 3D pour créer des objets scientifiques. Ces techniques ont été utilisées en sciences du sol.
Les chercheurs de l’Université d’Abertay en Ecosse ont utilisé cette technique pour reproduire la porosité de sols réels caractérisée en tomographie X dans des sols artificiels. L’objectif de leur étude est de mieux comprendre la diffusion des hyphes de champignons dans les structures poreuses du sol.
Leurs travaux ont été publiés dans Otten et al. (2008) Combining X-ray CT and 3D printing technology to produce microcosms with replicable, complex pore geometries, Soil Biology and Biochemistry, 51, 53-55. doi:10.1016/j.soilbio.2012.04.008.
Des chercheurs de l’Université d’Uppsala ont aussi fabriqué des sols en impression 3D pour étudier les transferts d’eau dans le réseau de macropores du sol. La forte hétérogénéité des sols rend en effet difficile l’étude expérimentale de ces transferts. L’impression 3D permet d’obtenir un sol identique en plusieurs exemplaires sur lequel des expériences peuvent être réalisées. Voir Bacher et al. (2015) Three-dimensional printing of macropore networks of an undisturbed soil sample. Vadose Zone Journal. doi:10.2136/vzj2014.08.0111
Une revue récente expose les avancées en médecine, pour l’impression 3D de biotissus:
L’impression 3D peut aussi être utilisée pour fabriquer des pièces de laboratoire spécifiques:
– en sciences du sol:
En processus d’impression 3D, il est possible l’utilisation de différents types de processus et de matériaux, en selon les caractéristiques du produit final. Ici quelques matériels qui ont été utilisés en l’impression 3D.
Impression 3D (matiére prime: argile)
Vous pouvez aussi trouver plus d’information sur le site d’internet du WASP Project
– plus généralement: Baden et al. (2015). Open Labware: 3-D Printing Your Own Lab Equipment. PLOS Biology. doi:10.1371/journal.pbio.1002086