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Poste CR2 INRA à Reims : VIZMO-lignocellulose

Dans la continuité des thématiques abordées lors de l’Ecole-Chercheurs « VIZMO » qui a eu lieu en mars 2015, vous trouverez ci-jointe une annonce pour un poste de chargé de recherche INRA pour « Modéliser les processus de transformation de la biomasse lignocellulosique en 4D » !

Ce profil est ouvert au concours à partir du 26 janvier 2017 jusqu’au 1er mars dans notre UMR FARE à Reims.

Le profil concerne la modélisation des transformations biologiques des substrats lignocellulosiques, soit par voie naturelle dans les sols, soit dans des bioréacteurs pour la production de différentes molécules d’intérêt.

N’hésitez pas à diffuser autour de vous à travers vos réseaux si vous pensez que des collègues peuvent être intéressés. Vous trouverez également des infos en ligne à l’adresse suivant :

http://www6.npc.inra.fr/fare/Page-d-accueil/Actualites/26-janvier-2017-FARE-recrute-un-e-charge-e-de-recherche

Gwenaëlle Lashermes

Imprimez vos rêves !

Bonjour à tous !

Nous sommes un groupe d’étudiants à l’ENSGSI (Ecole Nationale Supérieure en Génie des Systèmes et de l’Innovation) de Nancy. Nous travaillons actuellement avec l’INRA Champenoux sur un projet permettant d’allier recherche sur les sols et impression 3D. Et nous avons besoin de vous pour faire avancer notre projet !

Pour cela, nous vous demandons cinq petites minutes de votre temps, pour aller remplir un questionnaire que vous trouverez sur cette page: http://vizmo.fr/wp/impression-3d-des-sols/

Merci par avance !

Le groupe projet INRA de l’ENSGSI

GALLI DELLA MANTICA Lorenzo, GAUSSIN Benoît,
 HENNEQUIN Marine, PIETSCH Marc, SUBTS Clara
projetinragsi@gmail.com

Nom de code : BIG BASAR !

Nous sommes heureux de vous annoncer que le Bac A Sable A Réalité augmentée en région Centre Val de Loire a été baptisé BIG BASAR, en référence à la websérie d’animation BIG SHOT du cinéaste orléanais Maurice Huvelin.

IMG_3870Il s’agit d’une animation permettant de modeler et d’interagir avec le relief pour comprendre les relations liant la topographie avec l’hydrologie, et plus largement les flux de matières.

IMG_3842Elle sera présentée pour la première fois au public lors de la Fête de la Science 2015, les 10 et 11 octobre, sur le campus INRA à Ardon (45).

CREATION D’UN FICHIER POUR IMPRESSION 3D (TRAITEMENT DES DONNEES A PARTIR D’UN « STACK » EN FORMAT .DCM)

Pour créer un fichier utile pour imprimer, il est nécessaire de transformer des types différents d’extensions, à « .stl » ou « .wrl » (dépend du type d’imprimante).

Pour la création d’un fichier utile pour l’impression 3D à la machine à poudre, il faut convertir le fichier en un format « .wrl », en la vidéo s’utilise le logiciel « Meshlab » comme un outil pour faire cette procédure.

Les données utilisées en cet exemple ont été fournies par monsieur Y. Capowiez du INRA avignon.

retour d’expérience de l’impression 3D d’un échantillon de tourbe

Retour d’expérience sur l’impression 3D d’un échantillon de tourbe

Description échantillon
L’échantillon est un demi-cylindre de tourbe de 5 cm de haut et de diamètre, prélevé à une profondeur de 20-25 cm de profondeur, à la tourbière de la Guette (Sologne) et laissé séché à l’air ambiant pendant une nuit après échantillonnage.

Analyse
L’échantillon a été analysé par tomographie à rayon X (CIPA-TAAM).

Logiciel et traitement
Deux logiciels ont été utilisés: PARAVIEW et MICROVIEW. Les fichiers d’origines ont une extension « .dcm ». Ce fichier a été ouvert dans MICROVIEW. Une région d’intérêt a été sélectionnée (cubique). Cette région a été enregistrée et le fichier transféré dans PARAVIEW. Un fichier « .vtp » a été créé et transféré dans MICROVIEW pour obtenir un fichier « .stl ». Ce fichier a ensuite été transféré sur l’ordinateur du FabLab-Orléans où les paramètres d’impression 3D ont été établis. Un fichier « .gcode » a été généré, transféré sur une carte SD. La carte SD a été insérée dans l’imprimante 3D et l’objet a été produit.

Problèmes rencontrés – remarques
– Difficulté à générer un fichier lisible par l’imprimante 3D (pas prévu initialement qu’un tomographe produise in-fine des objets 3D)
– Possibilité, dans l’échantillon testé de différencier les vides, de la matière organique et de la matière minérale (visualisation de ce qui était probablement des grains de sable)
– Prise en main « relativement » intuitive des logiciels (on a quand même fini par produire un objet, malgré notre ignorance initiale des logiciels)
– Besoin de calibrer les signaux produits par tomographie (e.g. plantes dans milieux minéraux et/ou organiques poreux contrôlés)
– Difficulté/nécessité de définir le volume élémentaire représentatif